Pourquoi faut-il se faire dépister ?
- Protéger sa santé : Les IST non traitées peuvent entraîner des complications graves comme l'infertilité, des infections chroniques ou des problèmes de grossesse.
- Prévenir la transmission : En connaissant votre statut, vous pouvez éviter de transmettre une IST à vos partenaires.
- Tranquillité d'esprit : Se faire dépister régulièrement permet de rester serein et de prendre en charge rapidement tout problème de santé.
- Accès aux soins : Un dépistage positif permet d'accéder rapidement aux traitements nécessaires pour vous soigner et éviter des complications.
Quand faut-il se faire dépister ?
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Après un rapport non protégé : Si vous avez eu des rapports sexuels sans préservatif, il est crucial de faire un test. Les IST peuvent être asymptomatiques. La plupart des IST mettent plusieurs semaines avant d’être détectables !
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Symptômes suspects : Si vous ressentez des brûlures, des démangeaisons, des douleurs pendant les rapports ou si vous remarquez des écoulements inhabituels, consultez immédiatement un professionnel de santé !
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Suivi régulier : Même en l'absence de symptômes ou de changement de partenaire, un dépistage annuel est recommandé pour une bonne santé sexuelle.
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Grossesse : Il est important de se faire dépister dès que vous découvrez que vous êtes enceinte afin de protéger votre santé et celle de votre bébé.
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Après un diagnostic d'IST : Si vous ou votre partenaire avez été diagnostiqués avec une IST, faites un dépistage pour toutes les IST. Il est possible d’en avoir plusieurs à la fois !!
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Changement de partenaire : À chaque fois que vous changez de partenaire sexuel, pensez à vous faire dépister. C’est une bonne habitude pour vous protéger et protéger votre partenaire.
Les illustrations :
Henri Gervex - Rolla - 1878 - huile sur toile © Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt
Edouard Théophile Blanchard - Narcisse - huile sur toile © Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt
Emile Bernard - Baigneuses à la vache rouge - 1889 - huile sur toile © Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt